Chez Goya, que Ramón ne mentionne pas, l'espion fusillé de la guerilla ne ressemble pas à un épouvantail. Pourquoi cette gregueria ne peut-elle pas se retourner comme un gant ? Si l'épouvantail ressemble à un espion fusillé, l'inverse n'est pas vrai, du moins chez Goya. Et d'ailleurs, y a-t-il des espions parmi les fusillés de Goya ? Le seul épouvantail que l'on trouverait chez lui est le croquemitaine (el coco), dans des Caprichos qui communiquent la peur.
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RépondreSupprimerChez Goya, que Ramón ne mentionne pas, l'espion fusillé de la guerilla ne ressemble pas à un épouvantail. Pourquoi cette gregueria ne peut-elle pas se retourner comme un gant ? Si l'épouvantail ressemble à un espion fusillé, l'inverse n'est pas vrai, du moins chez Goya. Et d'ailleurs, y a-t-il des espions parmi les fusillés de Goya ? Le seul épouvantail que l'on trouverait chez lui est le croquemitaine (el coco), dans des Caprichos qui communiquent la peur.
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