Ramón montre avec un humour noir la différence entre le nazisme et le franquisme. Le nazisme fait un autodafé des livres. Le franquisme les passe dans la cuve du teinturier. En réalité, c'est l'agacement des notes de bas de page qui pousse le lecteur à des outrances réactionnaires. Il y a souvent de la futilité dans la motivation du radicalisme des idées.
Il s'agit peut-être des notes laissées par les lecteurs sur leurs exemplaires, indices de leur bêtise ou des défauts de leur lecture. Les annotateurs qui s'imaginent enrichir leur livre par leurs réactions y inscriraient en fait les traces de leur médiocrité. Aux teinturiers alors d'effacer ses saletés.
Commentaires
Il y a souvent de la futilité dans la motivation du radicalisme des idées.